Il est devant elle comme
Ce guerrier sans arme
Il est cet homme
Qui n'a plus de larme
Surgissant comme une flamme
Au milieu du chemin
Où il portait son âme
Telle une croix d'airain
Monsieur de vous voir ainsi, j'ose
Votre corps est brûlant comme braise
Venez donc chez moi faire une pause
Je vous offre mon ombre, une chaise
Ces mots si naturels
De son cœur ont fait fondre
L'armure autour de lui
Le guerrier n'a su que répondre
Installez-vous tout à votre aise
Je vous offre le repos
Ne pensez pas qu'il me déplaise
Et prenez donc ce verre d'eau
Et dans cet instant unique
C'est comme si l'ange lui-même
Lui portait l'eau magique
De l'amour suprême.
F. (La Traversée 32/52)
Ce guerrier sans arme
Il est cet homme
Qui n'a plus de larme
Surgissant comme une flamme
Au milieu du chemin
Où il portait son âme
Telle une croix d'airain
Monsieur de vous voir ainsi, j'ose
Votre corps est brûlant comme braise
Venez donc chez moi faire une pause
Je vous offre mon ombre, une chaise
Ces mots si naturels
De son cœur ont fait fondre
L'armure autour de lui
Le guerrier n'a su que répondre
Installez-vous tout à votre aise
Je vous offre le repos
Ne pensez pas qu'il me déplaise
Et prenez donc ce verre d'eau
Et dans cet instant unique
C'est comme si l'ange lui-même
Lui portait l'eau magique
De l'amour suprême.
F. (La Traversée 32/52)
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